SOUVENIR NAPOLEONIEN

Antoine Dubois : Premier accoucheur de l’Impératrice Marie-Louise

Antoine Dubois : Premier accoucheur de l’Impératrice Marie-Louise

Enfance, études et formation

Antoine Dubois naît le 19 juin 1756 à Gramat dans le département du Lot. Après le décès prématuré de son père en 1772 il retourne à Paris pour y étudier. Sa vocation est la chirurgie mais son oncle chez qui il loge s’oppose à son projet. Un médecin, le docteur Peyrilhe, vieil ami de la famille prend Dubois sous sa protection. [1] En 1778 Dubois s’inscrit à la faculté demédecine qu’il quittera sans avoir reçu le titre de bachelier en 1782. En possession de sixcertificats d’assistance aux cours, Dubois s’inscrit au Collège de chirurgie. Il gagne sa vie en passant ses nuits à recopier des documents juridiques pour un notaire. Aidé par le Dr. Peyrilhe, Antoine Dubois fut admis dans le service du célèbre chirurgien Pierre-Joseph Desault (1738-1795), qui enseignait les chirurgiens dans les hôpitaux la Charité et l’Hôtel- Dieu. Desault comprend que le jeune Dubois a une véritable vocation pour le métier de chirurgien. Il le prend sous sa protection. Antoine Dubois devient prévôt. [1] Il assiste auxcours d’obstétrique de Jean-Louis Baudelocque (1745-1810) à l’Hôtel-Dieu. Dubois possèdel’ardeur du travail, une vive intelligence et une grande habilité opératoire. Il gravit rapidement les échelons de la réussite. Quatre ans après son entrée au Collège de chirurgie Dubois obtient en 1787 la maîtrise en chirurgie après avoir publiquement défendu une thèse sur les fractures de la clavicule. [1] Les divergences entre la Faculté de médecine de Paris et le Collège de chirurgie font obstacle à l’ambition de Dubois- obtenir le doctorat en médecine. Iln’a pas d’autre choix que de s’inscrire à la Faculté de médecine de Reims en 1787. Il y obtient son diplôme de docteur en médecine le 1 avril 1788. De retour à Paris, Dubois entre dansl’Académie royale de chirurgie. En 1791 il est nommé professeur adjoint au Collège de chirurgie de Paris à la chaire d’anatomie par Louis XVI. [2] La loi du 18 août 1792 supprime les écoles secondaires, les instituts et les Facultés. Par le décret du 14 frimaire an III (4 décembre 1794) les Facultés de médecine sont remplacés par les écoles de santé. Suite à cette révolution médicale, Dubois se retrouve dans une situation financière pénible. Il envoie à Georges Danton (1759-1794) une longue lettre et obtient le poste d’aide-major à l’hôpital militaire de Melun en juillet 1793, puis chirurgien major à l’armée des Pyrénées-Orientales le 30 ventôse an II (20 mars 1794), poste qu’il occupe pendant deux ans à l’hôpital militaire dePerpignan. Le 26 frimaire an III (16 décembre 1794), la commission d’instruction publique nomme Dubois professeur-adjoint d’anatomie et de physiologie puis professeur de clinique chirurgicale à l’École de Santé de Paris.

Le 30 germinal an VI (19 avril 1798) suite à un- ordre de mobilisation du Directoire, Dubois embarque à Toulon pour la campagne d’Egypte. Bonaparte l’a nommé dans l’équipe des savants. En plus il commande aux 108 chirurgiens de la campagne militaire. En tant que médecin Dubois soigne à Alexandrie les généraux Jean-Baptiste Kléber (1753-1800) et Jacques-François de Menou (1750-1810) ainsi que le futur baron Antoine Charles Louis de Lasalle (1775-1809). Après la prise du Caire, le 5 fructidor an VI (22 août 1798) Dubois est fait membre de l’Institut d’Egypte. Après avoir envoyé une lettre au général en chef de l’Armée d’Egypte lui demandant d’être renvoyé en France pour des raisons de santé, Dubois est convoqué au Caire. Le 13 vendémiaire an VII (4 octobre 1798) le général Bonaparte
approuve le renvoie de Dubois. De retour en France Dubois apprend le décès de sa mère ainsi que la capture de son fils Isidore par des pirates. Il reprend ses fonctions de professeur à l’Ecole de santé à Paris et de chirurgien de la 33éme brigade de la Garde nationale. [2] En 1802 Dubois devient chirurgien de la maison de santé située rue du faubourg Saint-Denis. Le 12 floréal an XII (2 mai 1804) il y devient le chirurgien en chef. Les Parisiens apprécient tellement les services de Dubois que l’hôpital (aujourd’hui hôpital Fernand Widal) était connu jusqu’en 1959 sous le nom de « Maison de santé du Docteur Dubois ». [2] Au cours de sa vie, Dubois n’est pas épargné par des revers personnels. Il se marie quatre fois, devient veuf trois fois et divorce de sa troisième femme le 11 décembre 1803. [3]
Pierre Antoine Noël Bruno (1767-1829), comte Daru, conseiller d’Etat et intendant général de l’armée, informe Dubois par une lettre datée de Berlin le 17 juin 1808 de sa nomination comme chirurgien consultant de Napoléon I. Le 29 juin 1808, la nomination est transmise par le premier médecin Jean-Nicolas Corvisart (1755-1821). [2]
En 1810, Jean-Louis Baudelocque, le fondateur de l’obstétrique scientifique en France, meurt.
Cet enseignant et ami de Dubois est l’auteur de ‘L’Art des Accouchements » publié en 1782. Baudelocque était aussi l’accoucheur de divers membres de la famille Impériale comme Caroline Bonaparte, Hortense de Beauharnais et Julie Clary. [4] Antoine Dubois lui succède comme obstétricien à la Maternité (à l’angle du boulevard Port-Royal et de la rue du faubourg Saint-Jacques) à partir du 16 mai 1810 et comme professeur d’obstétrique à l’école d’Accouchement créée par Jean-Antoine Chaptal (1756-1832) le 11 messidor an 10 (30 juin 1802). Le 23 octobre 1810, Dubois est nommé chirurgien-accoucheur de l’Impératrice Marie- Louise. Deux jours plus tard, la grossesse de Son Altesse Impériale Marie-Louise est publiquement annoncée.

La naissance du roi de Rome

Marie Lousie d'Autriche par François Gérard
Impératrice Marie-Louise par François Gérard, château de Fontainebleau.

Le 20 mars 1811, à 6 heures du matin, un communiqué du palais annonce « Sa Majesté l’Impératrice a commencé à éprouver hier au soir, vers les huits heures, des douleurs pour l’accouchement. Elles se sont ralenties dans la nuit, et on presque cessé avec le jour. Sa Majesté se trouve d’ailleurs dans le meilleur état. Signé Corvisart. 20 mars [1811] à six heures du matin ». [5] L’épouse du général de brigade Michel Durand, Sophie-Henriette Cohendet (1772-1850),première dame de cour de l’Impératrice Marie-Louise de 1810 à 1814, décrit dans ses mémoires : « On manda M. Dubois, chirurgien-accoucheur, qui, depuis ce moment, ne la quitta plus ”. [6] Il est 6 heures du matin, le 20 mars 1811. [7] Madame Cohendet continue : « M. Dubois, ne voyant rien qui annonçât un accouchement très prochain, le dit à l’Empereur, qui renvoya tout le monde, et alla lui-même se mettre au bain”. [6] Vers 8 heures, Dubois – selon les mémoires de Napoléon – se précipite dans la salle de bain de
l’Empereur. « l’accouchement serait difficile, et il y aurait le plus grand danger pour la vie de l’enfant ». [8] D’où ce tournant dramatique?

Nous ne disposons pas de documents écrits de la main d’Antoine Dubois concernant l’accouchement de Marie-Louise. Une chose est certaine : ce n’est qu’après la rupture spontanée de la poche des eaux à 6 heures du matin que Dubois a diagnostiqué que l’enfant ne se présentait pas par la tête comme dans la majorité des accouchements. L’enfant se présente par la hanche. [9] « Une présentation des fesses » telle que décrite dans « L’Art des Accouchements » de Baudelocque [4] était très rare: un document de 1849 rapporte une incidence de 42 cas sur 18 000 naissances (0,2%).[9]Le pauvre Dubois avait en plus d’autres soucis : « L’Impératrice était énorme ». [3] Frédéric Masson nous a peint le portrait physique de l’Impératrice. [10] Elle mesurait « cinq pieds deux pouces », c’est-à-dire 1m57. Tout semblait à suggérer une disproportion céphalo-pelvienne [3]

Comme la dilatation du col n’était pas complète, Dubois n’avait pas d’autre options que de patienter malgré les cris incessants de Marie-Louise, les commentaires des dames de cour présentes et l’impatience notoire de l’Empereur. « Qu’attendez-vous? Pourquoi ne délivrez- vous pas l’impératrice, n’est-il pas temps?

Sire, je ne puis rien faire qu’en présence de Corvisart.

Eh bien qu’avez-vous besoin de lui, reprit Napoléon avec une sorte d’emportement, que peut vous apprendre Corvisart ? Si c’est un témoin ou une justification que vous vous réservez, mevoilà moi! Dubois, je vous ordonne d’accoucher l’impératrice ». [3]

La dilatation du col est complète. Dubois peut dès maintenant procéder comme le recommande Baudelocque. Il saisit l’enfant par les pieds pour terminer l’accouchement [4]
La manœuvre de l’abaissement des pieds se déroule sans complications.
Parfois on se servit d’un ruban de fil, de soie ou de laine afin de fixer les pieds de l’enfant après qu’on les avait dégagées. [4] En 2014 un document à entête des Domaines de la Couronne, annoté à la plume et daté de 17 mai 1835 à Compiègne en provenance de la collection Napoléonienne du Palais princier de Monaco a été vendu aux enchères par Ossenat.
« Le 20 mars 1811 à huit heures moins trois quarts du matin, un garçon de garde-robe demanda au bureau du concierge du Palais des Tuileries une jarretière en laine rouge, disant que cela pressait tellement qu’il ne pouvait en chercher ailleurs. Le commis du Palais, embarrassé de satisfaire à la demande qui lui était faite, imagina d’offrir ses jarretières, qui à peu de choses près, remplissaient les désirs. Le garçon emporte les dites est (sic) celle qui est jointe à la note a servi à la délivrance de Marie Louise Impératrice de France. Signé L. P. Julien, commis du Palais breveté de par l’Empereur par S. E. le duc de Frioul, grand maréchal du Palais. C’est de cette jarretière q’un fragment a été donné par le dépositaire à M. David de Paris, et c’est le seul à qui il en est (sic) été donné. Compiègne, le 17 mai 1835. Le concièrge du Palais régisseur du domaine, ancien commis du Palais des Tuileries. L. P. Julien ”. Ce document historique est mentionné dans la Chronique médicale. [11]
On ne sait pas avec certitude si Dubois a utilisé la jarretière soit pour poser des lacs soit pour couper le cordon ombilical parce que « dans son trouble Dubois avait égaré les ciseaux ». [11] Il a réussi à délivrer le siège, le tronc et les épaules de l’enfant sans difficultés. Il est maintenant 8 heures 45, le matin du 20 mars 1811. Moment dramatique: la tête de l’enfant est coincée au-dessus de l’entrée du bassin. [3]

Il y a peu de situations qui sont si effrayantes pour le gynécologue et si dangereuses pour la vie de l’enfant que la tête coincée au cours de l’accouchement d’un enfant se présentant par le siège. Antoine Dubois saisit calmement l’instrument qu’il a conçu en 1790. Le forceps de Dubois est une adaptation de celui d’André Levret (1703-1780).
Madame Cohendet continue : « M. Dubois fut obligé de recourir aux ferrements pour lui dégager la tête, le travail dura vingt-six minutes et fut très douloureux. L’Empereur n’y put assister que cinq minutes, Il lâcha la main de l’Impératrice, qu’il tenait entre les siennes, et se retira dans le cabinet de toilette, pâle comme un mort et paraissant hors de lui”. [6]

Au cours de cette opération- sans anesthésie – les médecins Corvisart, Bourdier et Yvan ont fermement retenu l’Impératrice. L’impératrice criait sans discontinuer, sanglotait, refusait l’intervention. Malgré les explications de Madame de Montesquiou selon Antoine Dupic [3] ou la Duchesse de Montebello selon Frédéric Masson [10], elle croyait véritablement que l’on allait la sacrifier. Dubois avait préféré l’assistance d’une sage-femme, Mme Lachapelle. On le lui avait refusé pour des raisons protocolaires. [12] Il était assisté par Jean Abraham Auvity (1754-1821), spécialiste dans les maladies des nouveaux- nés. Dubois a utilisé son instrument non seulement pour amener l’enfant vivant, mais également pour éviter sa décapitation traumatique en cas de décès…. 20 mars 1811 à 9 heures le matin. L’enfant est délivré mais ne donne aucun signe de vie. [3] Napoléon pâle comme la mort et en plein sueur s’occupe de son épouse épuisée. [6] Il craint que son fils ne soit plus vivant.

Peut-on inculper Dubois qu’il a commis une erreur médicale parce qu’il n’a pas fait une opération césarienne? Il faut savoir que les ressources en 1811 étaient très limitées. Le risque de mortalité périnatale en 1820 était de 200 cas sur 1 000 enfants et le risque de mortalité en 1810 était 1 800 pour 100 000 femmes … En 1811, une opération césarienne n’est justifiée que si on n’a pas d’autres alternatives pour faire naître l’enfant. [4] En plus, Antoine Dubois a très probablement envisagé la nécessité de procéder à une opération césarienne. Il a demandé à l’Empereur qui il devait ménager de la mère ou de l’enfant. Napoléon n’a point hésité à lui crier : Sauvez la mère ! Traitez-la comme une bourgeoise de Saint-Denis ! [3] Jean-Nicolas Corvisart, le ‘Premier médecin’ a réanimé le nouveau- né. [3] Après 7 longues minutes, François Charles Joseph Napoléon a finalement poussé son premier cri. Le ‘Roi de Rome’ pèse 4400 g. [3] Cent et un coups de canon annoncèrent à Paris que l’héritier tant souhaité vient de naître. Marie-Louise s’est endormie. Dans une lettre privée à son fils Paul le 17 mars 1811 Dubois avait écrit “Il n’y a rien de nouveau, mon ami, au moment où je t’écris. Et tu peux compter que si j’ai la possibilité j’écrirai à toi le premier…” Une lettre à Paul Dubois du 20 mars 1811 écrite par l’épouse d’Emmanuel Patrix, l’ auteur du ‘Traité sur le cancer de la matrice et sur les maladies des voies utérines”, oeuvre dédié à Madame la baronne Dubois nous éclaire l’état d’esprit d’Antoine Dubois après l’accouchement: ”l’impératrice est accouchée d’un garçon nous étions au chateau nous deux maman lorsque cela s’est fait. Tu dois juger de la joie de ton papa de la voir bien portante il n’aurait pas pu t’écrire lui-même sa main tremble”

Dubois après la chute du premier Empire

Napoléon est très reconnaissant à Dubois. En surplus du traitement fixé par Corvisart de 15.000 francs par an et 15.000 francs par accouchement, une gratification de 100.000 francs pour les services rendus lui est accordée. Dubois devient « Chevalier de la Légion d’Honneur » le 8 avril 1811 et « Baron d’Empire » par lettres patentes le 23 avril 1812, assorti d’une rente de 9.000 francs. [2] Les armoiries du Baron Dubois montrent coupé, au I partie, de sinople à une fleur de lotus d’argent et quartier des barons officiers de la Maison de l’empereur (DA : Domus Altissimi) et au II, d’or à la louve au naturel allaitant un enfant de carnation, le tout soutenu d’une terrasse de sinople. La louve est une référence à Rome et la fleur de lotus est une référence à la campagne d’Egypte. [13]

Sa devise « Bene agere ac laetari » est attribué à l’anatomiste Hollandais Franciscus Deleboe Sylvius (1614-1672), avec un clin d’œil au philosophe Spinoza.

Le 14 février 1820, Dubois et le chirurgien Guillaume Dupuytren (1777-1835) secourent le duc de Berry (1778-1820), poignardé par le Bonapartiste Louis Pierre Louvel (1783-1820). Dubois insiste qu’on enlève les sangsues chez le duc mourant. Il aurait dit fermement: « Au lieu de tirer du sang, j’en mettrais si je le pouvais. » Louis XVIII, effrayé informe en Latin « Reste-t-il quelque espoir de salut ? » Dupuytren n’ose pas répondre. Dubois sans hésiter affirme en Latin: « La mort sans retard. » [2] Dubois est membre de nombreuses sociétés savantes : Société de santé de Paris, Académie de médecine en 1820 dans la section de chirurgie. Il exerce divers mandats successifs au Collège de chirurgie de Paris, à l’Ecole de santé et à la Faculté de médecine comme professeur jusqu’à sa destitution en 1822 à la suite d’incidents provoqués par des étudiants contre le grand maître de l’université. Il est réintégré en 1829. Dubois est nommé doyen de la Faculté de médecine de Paris en 1830. Le roi Louis-Philippe l’élève au rang d’Officier dans l’Ordre de la Légion d’Honneur le 1 mai 1831.
On lui donne après sa retraite une dernière mission officielle en 1833. Dépêché par ordre du maréchal Bugeaud à la demande du roi Louis-Philippe, il sera présent à l’accouchement de la veuve du duc de Berry le 10 mai 1833 dans la citadelle de Blaye. La duchesse accouche d’une fille sans savoir que Dubois se tenait tout près en réserve, caché derrière un paravent… Dubois fut frappé à l’hiver 1836-1837 d’une pneumonie bilatérale. Il s’éteint le 30 mars 1837 après avoir prédit son destin stoïquement.

Épilogue

François Charles Joseph Napoléon-Napoléon II- est décédé suite à ‘une tuberculose à Vienne, le 22 juillet 1832, à l’âge de 21 ans. Paul Dubois, fils d’Antoine Dubois, accouche l’impératrice Eugénie, épouse de Napoléon III le 16 mars 1856. Semblable avec l’accouchement du Roi de Rome la vie de la mère ou celle de l’enfant était en danger. Paul Dubois doit recourir à l’usage du forceps. Comme son oncle avant lui, Napoléon III donne son consentement « Sauvez l’Impératrice ». Le neveu de Napoléon I, également décomposé par l’accouchement laborieux, est lui aussi obligé de sortir de la chambre. L’Impératrice a eu une brève syncope. [14] Leur fils, Louis Napoléon – Napoléon IV – a été tué à 23 ans comme officier britannique en Afrique du Sud lors de la guerre contre les Zoulous. [15]

Jan Bosteels
Gynaecologue en chef de l’hopital Imelda, Bonheiden -Belgique

Littérature

[1] Fabre AJ. Le Baron Dubois, accoucheur de Marie-Louise. Annales du Premier Empire, n° 4, décembre 2015, p 9-15.
[2] Vesselle B & Vesselle G. Sur les traces du docteur Antoine Dubois. Histoire des Sciences Médicales; 2012: tome XLVI, n° 3, p 255-62.
[3] Dupic A. Antoine Dubois, chirurgien et accoucheur. Paris: Librairie des Facultés A Michalon; 1907.
[4] Baudelocque JL. L’art des accouchements (Tome 1 & 2). Quatrième édition. Paris: Méquignon; 1807.
[5] Lentz T. Le Premier Empire 1804-1815. Paris: Librairie Arthème Fayard/Pluriel; 2018. P 265-7.
[6] Mémoires sur Napoléon et Marie-Louise 1810-1814, par la générale Durand, Première dame de l’Impératrice Marie-Louise. Paris: Calmann Lévy; 1886. P 61.
[7] Moniteur, 21 Mars 1811.
[8] Minute, Archives nationales, AF IV 889, mars 1811, n°293 [C 17496].
[9] Dubois F [d’Amiens]. Eloge d’Antoine Dubois. Mémoires de l’Académie Nationale de Médecine; 1849: vol. 15, p XV.
[10] Masson F. L’Impératrice Marie-Louise. Paris: Ed. Paul Ollendorff; 1902.
[11] L’accouchement de l’Impératrice Marie-Louise. La Chronique médicale, 1905, volume 12, p.336-7.
[12] Castelot A. L’Aiglon. Paris : Perrin ; 1961.
[13] Révérend A. Armorial du Premier Empire. Paris: Picard; 1895. Tome 2 p 84-85.
[14] Lachnitt JC. Le Prince impérial « Napoléon IV ». Paris: Perrin; 1997. P19.
[15] Laband J. Rope of Sand-The rise and fall of the Zulu kingdom in the nineteenth century. Johannesburg : Jonathan Ball publishers; 1995. P 290-291.

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